L'Institut Français de Psychosynthèse (IFP) est un centre qui a pour but de faire connaître et pratiquer la psychosynthèse en France. Il a été créé en 1970 par Suzanne Nouvion et Jacqueline-Marie de Chevron Villette, à l’invitation du Docteur Roberto Assagioli, fondateur de la discipline.
Association loi 1901, l'IFP est représenté par un conseil d’administration et une équipe psycho-pédagogique qui assure toute l’organisation des activités. Situé à Paris, l’IFP est également représenté dans d’autres régions : à Saint-Malo ainsi que dans le Sud de la France.
Deux centres de psychosynthèse agréés par l'Institut ont été créés hors de la région parisienne :
Nous travaillons également avec deux partenaires directs en Europe :
La SFPT, Société Française de Psychosynthèse Thérapeutique, est un collectif de praticiens en psychosynthèse. Vous pouvez retrouver nombre d'informations concernant ce courant de la psychologie sur son site.
Nous travaillons également en étroite collaboration avec l'association Jonathan Pierres Vivantes, située à la même adresse que l'Institut. Elle accueille toute personne souhaitant du soutien face au décès d’un enfant.
Les noms de Suzanne Nouvion et Jacqueline-Marie de Chevron Villette sont indissociables de l’Institut Français de Psychosynthèse. Sensibles à la souffrance de trop nombreuses personnes après guerre atteintes « du mal d’isolement » et de ses conséquences désastreuses, elle créèrent à Paris en 1958 le premier Centre de lutte contre l’isolement et pour la prévention du suicide. Deux ans plus tôt, en 1956, elles avaient ouvert l’institut de formation humaine, destiné à faire se rencontrer des chercheurs en sciences humaines et des chercheurs en sciences de l’éducation.
Leurs recherches en moyens et outils psychologiques propres à remettre les personnes souffrantes en santé et équilibre intérieur, les amena à rencontrer le Dr Assagioli. Cette rencontre fut suivie d’une longue collaboration et amitié, et Roberto Assagioli leur confia la création de l’Institut français qui vit le jour en 1970.
Leur œuvre fut récompensée des mains du Président Valéry Giscard d’Estaing, qui fit Suzanne Nouvion Chevalier de l’Ordre National du mérite en 1978.